
La cohérence imparfaite entre les écritures d’un registre et le monde réel d’une supply chain est souvent vue comme une faiblesse de la blockchain. Pour Matthieu Hug (fondateur de Tilkal), il n’en est rien. L’intérêt des DLT (registres distribués) ne résiderait en effet pas dans leur capacité à contrôler les données en amont, mais à faciliter l’audit en aval.
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